Friday feelings #463

Le vendredi c’est états d’esprit, imaginés par ma copine Zenopia.

Fatigue: on se remet peu à peu.

Condition physique: entre le flan gélatineux, l’éléphant de mer échoué et le marshmallow ramolli.

Humeur: entre « pfff… » et « Beuh… »

Esprit: en grève, clairement.

Estomac: chocolat. Sans commentaire.

Boulot: mine de rien, pendant que je chouine, une grande exposition se prépare.

Culture: pas du tout.

Avis perso: non plus.

Message perso: merci à tous ❤

Loulous: L’Adulte est passé nous voir, les autres sont en vacances. Wizzboy a adoré la classe verte et il semblerait que les châteaux de la Loire aient résisté à son passage.

Amitié: je suis désolée de ne pas avoir été présente ces derniers temps.

Love: il y a longtemps que je n’ai pas rappelé que c’est un super-héros.

Envie de: soleil! On se gèle.

Penser à: racheter du chocolat.

Pic: double trouble avec Albert et Abigail

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Les mini fauves

En quelques mois, on est passé de trois chats à un, et ça faisait un énorme vide dans la maison, ce pauvre Marcel s’ennuyait tout seul. On ne peut pas remplacer Capucine, mais on avait tous besoin de distractions. Il n’y a rien de tel parfois, que de la ronron-thérapie et Marcel a beau être sympathique, il finissait par nous trouver un peu envahissant. Six humains, parfois sept, c’est trop pour un seul chat!

Il se trouve qu’il y a une super association locale qui recueille les chats errants…bref, j’ai téléphoné à tout hasard. Sans penser à rien, juste comme ça, pour les encourager. Voilà qu’ils venaient de trouver une chatte et ses petits. D’habitude, ils n’ont aucun mal à les faire adopter mais manque de chance, un des chatons etait craintif, peureux, récalcitrant aux humains, limite idiot et collé à une de ses sœurs, impossible de les séparer. Et donc, impossible de leur trouver un foyer alors que le reste de la portée est déjà casée. Pas de souci, on les prend!Vous êtes sûrs? Deux à la fois? Absolument et on était même prêt à embarqué la mère avec, mais elle avait déjà été réservée.

Voilà comment il y a une dizaine de jours, deux nouveaux chatons tout neufs ont débarqué chez nous. Les enfants les ont rebaptisés Albert et Abigail. Après des débuts hésitants, Albert n’est pas du tout craintif, peureux, récalcitrant ou idiot. Il est juste un chouïa plus calme que Abigail, mais elle n’a pas mis la barre très haut. Il est même plus câlin et adore dormir sur les humains. Les chatons sont en admiration béate devant Marcel. Malheureusement, ce n’est pas réciproque puisqu’il a eu très peur d’eux. Ça commence à aller mieux, mais c’est assez ridicule de voir Marcel sursauter de trouille devant ces petits machins remuants certes, mais pas plus que lui finalement.

En tout cas, on ne s’ennuie plus et on a tous notre quotas de ronronnements. Les chatons font admirablement bien leur job, mais ça ira mieux quand Albert arrêtera de peter de joie dès qu’il fait un câlin et qu’ Abigail aura compris à quoi sert la litière…

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Hello?

Avec les encouragements insistants de Marichéri, je reviens timidement par ici…c’est pas simple alors que j’ai tout arrêté brutalement et sans prévenir. Mais déjà, je dois remercier toutes celles qui m’ont envoyé de très gentils messages ou qui ont commenté ici. Je suis désolée, je n’ai pas répondu à chaque fois mais ça m’a beaucoup touché.

C’est curieux un blog quand même…ça fait plus de 10 ans que je raconte ma vie ici, mes délires, mes humeurs, mes joies et mes colères. Tout est sincère, ceux qui me lisent en connaissent plus sur ma vie et ma personnalité que des soit-disants proches que je côtoie plus ou moins dans la vraie vie. Mais avec Pomdepin, je ne parle pas de tout non plus. En 10 ans, il y a eu des moments heureux et d’autres moins, des deuils, des naissances (pas chez nous, mais proches), des tas de choses que je n’ai pas racontées ici. D’abord parce que je ne suis pas la seule concernée. Quand je pique une colère ou que j’étale mes états d’âme, ça n’engage que moi. Je ne vais pas parler de la vie des autres, même si elle fait aussi partie de la mienne. Et puis, il y a des choses que je ne souhaite pas dire. Enfin non, c’est plus subtil que ça: il y a des moments où je n’éprouve pas du tout le besoin d’écrire. Où ça devient même impossible.

Quand Wizzboy s’est cassé la jambe, tout petit, j’en ai parlé, beaucoup même. J’avais besoin de passer mes nerfs quand une infirmière en chef aboyait sur tout le monde ou quand une interne s’est juste trompée de jambe…quand j’ai un peu (beaucoup) vrillé avec le Brexit , je me suis répandue à longueur de billets, en long en large et en travers. Surtout en travers d’ailleurs. Ce blog, c’est un peu ma thérapie…Pourtant parfois, la meilleure façon d’avancer c’est le silence, d’abord par sidération et puis pour tenir nerveusement et finalement pour passer à la suite.

Alors voilà, je reviens sur la pointe du clavier, désolée de vous avoir laissé tomber mais vraiment, je n’étais pas capable de faire autrement. Je n’en dirai pas plus, c’est ma façon d’avancer. Je ne posterai peut-être pas tous les jours, mais je vais essayer de continuer, parce que finalement, ça me manque aussi. Pomdepin est repartie pour un tour!

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Throwback Thursday Thunder : symphonie pour tronçonneuse

Ils sont revenus. Et c’est un problème. Les employés municipaux et leurs tronçonneuses sont à nouveau sur le parking à côté de chez nous. Et ils tronçonnent. A trois centimètres de mon oreille, en ressenti. Rhaaa…alors certes, ça me donne l’occasion de ressortir une colère du jeudi, mais la dernière fois, emportés par l’enthousiasme et la puissance de leurs tronçonneuses, ils avaient fini par ratiboiser notre haie, ce qui nous avait moyennement fait rire. Ça repousse à peine après 3 ans, et voilà qu’ils reviennent. J’ai donc dû entamer un dialogue avec les ouvriers et leurs machines pour qu’ils s’arrêtent à la limite du parking. Les machines ont eu l’air de comprendre. On verra. En attendant, j’ai remis mon casque anti bruit. Grrr.

Source
« J’avais déjà la tronçonneuse, ce sont les demi-soeurs qui sont nouvelles »

Il se trouve qu’on n’a pas de voisin direct, on est entouré par un champ, le terrain de foot municipal et le parking qui va avec, où il n’y a jamais personne sauf les rares, très rares fois où l’équipe du village arrive à trouver onze participants pour faire un match. Tout ça est entouré d’une végétation abondante et infranchissable, qui fait que le pauvre fermier a même du mal à rejoindre son champs. Et bien, vous allez rire, on a choisi la maison pour ça aussi! On est très content de ne pas être collé à nos voisins les plus proches, eux , tout là bas, qu’on ne voit pas et dont on entend juste le coq paresseux chanter mais jamais avant 10 heures du mat, c’est dire si cette bête est sympathique et motivée. En général, on a une paix royale et ça nous va très bien. Sauf que donc, les employés municipaux ont décidé de prendre l’air, puisqu’il fait moins douze en ressenti, ça serait dommage de ne pas en profiter. Ils ont attaqué les haies autour du champ de patates labouré terrain de foot, il y a trois jours. C’était déjà pénible, auditivement parlant, mais bon…seulement, ils se sont sournoisement mais de plus en plus bruyamment, rapprochés pour finir dans la sorte de bande de hauts végétaux hirsutes, piquants et impénétrables entre nous et le parking, toute tronçonneuse hurlante. Depuis ce matin, on en est à communiquer par signes, avec Marichéri, tellement c’est assourdissant. 

J’ai l’impression que mes tympans essaient de ressortir par les narines, probablement pour fuir, et je les comprends. Ça fait vingt fois que je vais vérifier, mais non, les excités de la tronçonneuse ne sont pas dans notre jardin, on ne les voit même pas, ils sont bien de l’autre côté du fossé. A mon avis, ils sont coincés aussi, et les râles stridents qui me vrillent le cerveau depuis des heures, sont en fait les appels à l’aide d’une tronçonneuse, emberlificotée à mort dans les conifères et qui se débat pour échapper à une mort lente, trop lente, mais méritée. Je ne vois que ça. Je suis prête à abréger les souffrances de cette machine en la faisant bouffer à son employé municipal. Par les oreilles, pour rester dans le thème. Je sais bien que ces braves gens ne font que leur boulot (et je suis à deux doigts d’aller leur proposer un café bien chaud avant qu’ils en perdent un. De doigt. A cause du froid). Mais ma tolérance au bruit est déjà limitée en temps normal (je viens des Landes, où il y a quand même plus de pins que d’habitants, et c’est très calme, niveau sonore, un pin), au bout de trois jours, j’ai des envies de meurtres. La première tronçonneuse que je croise, prendra pour toutes ses congénères! Je n’en peux plus. Même quand ils prennent des pauses (tous les quarts d’heure, ça doit être syndical), j’ai l’impression d’entendre encore résonner une tronçonneuse au fond de mon petit cerveau fatigué.

Heureusement, les tronçonneuses finissent tôt, avant le goûter, et il semblerait qu’elles aient fait tout le tour, ça devrait se terminer. Mais le prochain qui me parle de tronçonneuse, je fais un massacre.

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La phrase du mercredi #111

Juste avant le confinement, Wizzboy, qui était au CP, était parti en classe de mer. On l’avait récupéré le vendredi avant de commencer l’école à la maison, dans une ambiance assez surréaliste…le voyage avait été préparé toute l’année et ils étaient partis avant qu’on sache qu’on serait confiné. Tous les parents qui attendaient le bus étaient un peu interloqués, devant l’école. Mais les enfants se sont éclatés et Wizzboy a passé tout le confinement à nous raconter sa classe de mer. En détails. Plusieurs fois. Rhaa. Bref, la classe de mer l’a beaucoup marqué.

Cette année, pas de confinement mais les CM2, et donc Wizzboy qui vieillit à vue d’œil, préparent à nouveau un voyage. Et donc, il nous a expliqué:

C’est un concept…je sens qu’il va encore bien s’amuser!

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Tag de printemps

C’est parti pour un tag printanier! J’avoue, j’ai un peu triché en mélangeant deux tags (merci Vanessa et M.) en supprimant les questions où je n’avais vraiment aucune idée de réponse. Ça donne ça:

1- fais-tu un grand ménage de printemps?

On commence directement par une question humoristique, j’en ris encore. Sérieusement, j’ai une tête à récurer ma maison du sol au plafond avec un cure dent trempé dans une décoction vinaigre-huile-essentielle-ciguë ou un truc comme ça? Franchement, vu comme on est nombreux (et bordéliques) si on ne faisait pas du rangement et nettoyage en profondeur au fur et à mesure, tout au long l’année, on ne s’en sortirait pas.

2- as-tu une robe de printemps?

Euh…si on parle robes à fleurs, oui, j’en ai. J’en ai même plein, mais pour toutes les saisons, j’adore mettre des robes à fleurs avec des collants psychédéliques et des docs.

3- ta gourmandise de printemps préférée?

Aaaah, vaste sujet. Je pourrai développer pendant plusieurs paragraphes, mais on va dire les framboises. Je ne mets pas le chocolat, malgré Pâques, parce que c’est pour toute l’année, pas uniquement pour le printemps.

4- un livre avec une couverture printanière?

Ça dépend des éditions non? Ou alors c’est par rapport au titre? Euh…La Cerisaie de Chekhov? Je n’aurais peut être pas dû garder cette question.

5- avec quel personnage de fiction aimerais-tu faire une chasse aux œufs ?

Sherlock Holmes, clairement avec lui, on les trouverait tous. Alors que ce week end, on a encore égaré 8 œufs en chocolat dans le jardin.

6- un livre qui te fait penser au printemps?

Rhaa, déjà que j’ai eu du mal sur la couverture printanière…je ne sais pas! J’ai triché et je suis allée voir chez les autres. Visiblement, Pride and Préjudice revient souvent mais j’avoue, je ne suis pas convaincue.

7- Ta fleur printanière préférée?

Le lilas. J’adore l’odeur du lilas.

8- ta destination favorite pour un week end férié?

N’importe où du moment qu’il ne neige pas! Je ne suis pas sectaire, un city break ou un week end à la campagne, ça me va mais il faut qu’il y ait des choses à visiter, des choses à manger et des choses à ramener (pour les enfants, puisque ma destination favorite pour un week end, c’est n’importe où certes, mais avec juste Maricheri). Sinon, ça va, je ne suis pas difficile.

9-Un souvenir d’enfance de printemps?

Alors, mon anniversaire tombant très originalement au printemps, j’en ai forcément plein de souvenirs mais je ne sais pas si ça compte. Mais je vais quand même dire les grandes réunions de famille, chez mon oncle à côté de Saint Emilion, pour les divers anniversaires familiaux, et on les fêtait tous (c’est fou le nombre de naissance qu’on a au printemps dans cette famille, il y a même trois anniversaires le même jour).

10-une citation qui évoque le printemps?

« Attention où tu marches! » de Maricheri, quand un des enfants manque d’écraser un œuf trop bien caché.

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Ma semaine en images #84

Cette semaine, on a été voir la Dentellière au Louvre Lens et j’en suis encore toute émue.

On a testé un nouveau restaurant, ça nous a beaucoup plu.

On a fêté Pâques à l’anglaise avec des hot cross buns qui étaient très bien malgré la décoration assez ratée (c’est sensé être une croix).

Et on a été très triste aussi.

Bonne semaine à tous!

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Projet 52: ancien

Le moins qu’on puisse dire, c’est que le thème choisi par Ma’ cette semaine me parle. Des trucs anciens, il y en a plein chez moi (je ne parle pas de mon âge): des meubles, des livres, des vieux papiers, des antiquités diverses et variées…même la maison est ancienne! Mais il se trouve qu’on a été au Louvre Lens cette semaine, et qu’on a dû traverser toute la Galerie du Temps qui comme son nom l’indique, commence à la préhistoire, Je pense que je ne trouverai pas plus ancien dans nos photos, que cette pointe de silex « feuille de laurier » de moins 17 000 ans…

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Friday Feelings #462

Le vendredi, c’est états d’esprit imaginés par ma copine Zenopia.

Fatigue: mon correcteur d’orthographe a voulu écrire Fairfield, je ne sais pas si c’est un message codé.

Condition physique: c’est un scandale, qui est responsable de l’entretien des trottoirs ici? Eh non, je ne m’archivas pas le nez en l’air, enfin;pas vraiment…bref, j’ai mis le pied dans un trou, malencontreusement. Ça a vriller et j’ai failli finir dans le mur, en virevoltant avec des grâces de pachyderme amidonné. Aie.

Humeur: impatiente! C’est encore loin, le chocolat? C’est purement thérapeutique bien sûr, je suis sure que ça aide les chevilles à se remettre des attaques de trous dans les trottoirs.

Esprit: ça ne s’arrange pas.

Estomac: vive les fraises!

Culture: on a été au Louvre Lens admirer la dentellière des Vermeer er le panier de fraises de Chardin. J’en suis encore toute émue même si la petite exposition qui suit sur la dentelle nous a laissé une impression mitigé. La partie sur Vermeer est très intéressante, l’excelle sur la fabrication de la dentelle aussi, mais on a trouvé les œuvres associées assez inégales.

Boulot: le hardi refuse de céder, amis on ne lâche rien!

Avis perso: les trous dans les trottoirs, armes de destruction massive.

Message perso: à tout à l’heure?

Loulous: L’Adulte est rentré, déçu de ne pas avoir pu rester un peu plus longtemps à Mexico. Il a ramené du xocoalt. GeekAdo n’a pas cours demain matin, Mangagirl le bat: elle n’a pas cours de la journée. Princessechipie cherche toujours désespérément un stage de seconde, comme à peu près 3 milliards de lycéens en même temps. C’est pas gagné. Wizzboy veut intégrer l’option rugby du collège, il s’entraîne. Au moins, ça tasse l’herbe dans le jardin, ça aide.

Amitié: profite!

Love: il est officiellement en vacances pour la semaine, c’est à dire qu’il travaille (à peine) un peu moins que d’habitude.

Penser à: faire une carte des cachettes des œufs de Pâques, c’est ridicule d’en perdre chaque année!

Envie de: quelques degrés de plus!

Pic: Le Louvre lens

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Poultry philosophy: Le coq, ses hormones et le printemps

On est entre nous, on peut parler de tout ou presque. Millicent, qui est pourtant très philosophe et d’un calme olympique en toutes circonstances, commence à en avoir un chouïa ras la crête, des humeurs de Nestor le coq. D’accord c’est le printemps, ça le travaille, mais un peu de tenue quand même!

Attention, soyons clair, Millicent n’est pas contre accueillir un ou deux poussins. Elle baby-sitte déjà toute la troupe, un de plus ou pas, ça ne fera pas tant de différence que ça. Mais le problème n’est pas là. Il se trouve que Nestor est certes très sympathique, mais aussi particulièrement empoté. Bref, malgré son enthousiasme débordant, il n’a pas exactement compris comment procéder. Les humains, entre deux fous rires, ont même proposé de lui faire un schéma, mais il n’a pas voulu. Imogene et Philomène, qui sont très dévouées, essaient bien d’aider, mais il n’écoute pas: Nestor s’excite tout seul mais il ne comprend toujours pas ce qu’il doit faire. Millicent commence à trouver tout ça ridicule. On ne peut plus picorer tranquillement sans se faire embêter par l’obsédé de la basse cour, pour rien en plus!

Non mais c’est vrai ça, il faut que ça cesse sinon le printemps va être très long. Millicent propose une alternative: soit Nestor déclare forfait une bonne fois pour toute et accepte stoïquement son incompétence reproductrice, soit il apprend ce qu’il doit faire. Parce que là, ça ne peut pas fonctionner. Même avec la meilleure volonté du monde, les poules ne peuvent pas se reproduire par les épaules ni la crête. Nestor a bien compris qu’il fallait sauter sur les poules, mais pas comme ça! Ça ne sert à rien de leur grimper sur la tête, enfin…il a beau y aller avec un enthousiasme fou, c’est juste gênant. On est là, tranquillement en train de se nourrir, et paf, on se retrouve avec un coq qui se prend pour un chapeau. En plus, ça fait clairement hurler de rire les humains et ça devient vexant.

Heureusement, Nestor ne s’en prend plus à Millicent, après qu’elle ait somptueusement ignoré ses avances mais il continue à faire le couvre chef sur la tête de ses pauvres Imogene et Philomène qui restent de marbre et continuent à picorer, le coq perché sur la crête. Non seulement c’est pas comme ça qu’on aura des poussins, mais c’est extrêmement pénible d’avoir un coq travaillé par ses hormones mais qui ne sait pas comment s’y prendre. Millicent est contrariée.

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